Avec ses mélodies aériennes aux guitares claires nappées de brumes et d’effets, le Tristesse Club fait sien l’adage d’Hugo : « La mélancolie, c’est le bonheur d’être triste ». Entre cold wave, dream pop et shoegaze, le quatuor rennais surfe avec un sacré bonheur sur une indie pop des plus addictives.