Le Comte, c’est son vrai nom et ça lui va comme un gant de pécari à la main de George Brummel. Car il y a quelque chose de profondément élégant dans l’allure de Christophe Le Comte, tout comme dans sa pop électronique profondément méditative et d’une improvisation virtuose et érudite. Le Comte nous entraîne dans des sets d’une altitude stratosphérique, où il y a autant à voir qu’à entendre, dans une sorte de rêve aux confins de l’irréel. Bienvenue dans un autre monde !
Photo : Jean-Sylvain Le Gouic